« Rendez à César ce qui est à César… »

(29eDim. Ord. A)

Les Pharisiens étaient sûrs de leur coup, d’autant plus que leur question était précédée d’une caresse dans

le sens du poil ! « Tu enseignes la vérité ; tu ne te laisses influencer par personne ; tu ne juges pas selon l ‘apparence. » La question était courante : « Est-il permis, oui ou non, de payer l’impôt à César ? » Le piège était incontournable. Et Jésus sait que s’il répond Oui, il passera aux yeux des juifs pour un collaborateur, un suppôt de l’empereur. S’il répond non, il sera vite dénoncé auprès des romains comme un rebelle, incitant à la rébellion.

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